C’est un gros morceau que celui là!!!!! Nous ne l’avalerons pas en une seule fois.
Je vous ai parlé du biais de positivité et du biais de négativité. Notre cerveau, qui traite des milliers d’informations par seconde, va au plus vite, au plus simple et au plus fréquent. Il traite une situation en la comparant aux situations antérieures qui lui apparaissent comme similaires et la différence, si elle est jugée non significative, sera ignorée
Cette pensée « catégorielle » favorise la globalisation, le préjugé et le stéréotype.
Notre cerveau, cette fabuleuse machine, se trompe parfois. Nos pensées ne sont pas des vérités, elles nous sont très relatives! Oui, il y a relativité du temps et de la pensée.
En avoir conscience, c’est le début de la tolérance,.
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui. Je suis fatiguée ( je plaisante, évidemment, vous écrire, vous parler me met en éveil ) et il faut aussi savoir s’écouter.
La bienveillance bien ordonnée, ne commence pas toujours par soi même, ne s’y termine pas toujours, mais elle s’y arrête à chaque fois…